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Autre titre SALO OU LES 120 JOURS DE SODOMERĂ©alisation Pier Paolo PasoliniScript Pupi Avati, Roland Barthes, Maurice Blanchot, Sergio Citti, Pierre Klossowski, Pier Paolo Pasolini, d'aprĂšs l'oeuvre du Marquis de SadeDurant la RĂ©publique fasciste de Salo, quatre seigneurs Ă©laborent un rĂšglement pervers auquel ils vont se conformer. Ils sĂ©lectionnent huit reprĂ©sentants des deux sexes qui deviendront les victimes de leurs pratiques les plus dĂ©gradantes. Tous s'enferment alors dans une villa prĂšs de Marzabotto afin d'y passer 120 journĂ©es en respectant les rĂšgles de leur code annĂ©es passent, et Salo ou les 120 journĂ©es de Sodome n’est plus ce qu’il a pu ĂȘtre Ă  l’époque oĂč des cinĂ©astes comme Gaspard Noe ou Claire Denis furent dĂ©stabilisĂ©s en le dĂ©couvrant pour la premiĂšre fois. En fait, cette ultime rĂ©alisation de Pasolini se plante sur toutes ces caractĂ©ristiques premiĂšrement, la peinture des riches sombrant dans la dĂ©chĂ©ance et la perversitĂ© sous le rĂ©gime fasciste de la Seconde Guerre Mondiale Ă©choue dans sa crĂ©dibilitĂ©, car une bonne part de leurs agissements tiennent de la pure bouffonnerie dĂ©nuĂ©e de sens; ou plutĂŽt est-ce Ă  ce moment-lĂ  une grosse caricature plus qu’une peinture, en rĂ©alitĂ©, notre question ne trouve pas sa rĂ©ponse, et l’on reste plus agacĂ© que dĂ©contenancĂ©; deuxiĂšmement, les audaces de violence du film ayant autrefois fait fureur paraissent Ă  l’heure actuelle bien gentillettes Ă  l’aune de ce qu’il s’est fait par la suite; pour ĂȘtre plus franc, il s’avĂšre prĂ©fĂ©rable de s’attarder sur un de ces bandes d’exploitation des annĂ©es quatre-vingt-dix qui ont au moins elles le mĂ©rite de combler rĂ©ellement le spectateur en mal de sensations fortes malsaines de par leur voyeurisme sans aucune retenue ni mĂȘme distance, Ă  grand coup de sĂ©vices plus complaisants les uns que les autres et de Gore racoleur. Pas grand chose de tout cela dans Salo, mĂȘme si certains passages au demeurant dĂ©rangeants font comprendre le scandale de l’époque, de la mĂȘme maniĂšre qu’un Orange MĂ©canique. De surcroĂźt, le mĂ©trage se permet d’ennuyer les trois quarts du temps avec des temps morts parfois Ă  n’en plus finir, qu’aggrave un gros manque de rythme et un tempo des plus monotones; ainsi, on doit endurer les multiples rĂ©cits de trois vieilles peaux tout juste dignes d’alimenter le stock de gags cracras d’un volet de Scary Movie entre deux Ă©lucubrations salaces et perverses ou non de quatre notables certes interprĂ©tĂ©s par de bons comĂ©diens l’excellent Paolo Bonacelli notamment, mais par consĂ©quent sous-exploitĂ©s. Entre temps, un peu de caca, de cul, de pipi et quelques sĂ©vices atroces dans leur fond mais souvent rendus inoffensifs dans leur forme ne seront pas mis en scĂšne de maniĂšre suffisamment convaincante pour nous faire rĂ©ellement grincer des dents. La rĂ©alisation demeure nĂ©anmoins correcte, sobre sans non plus faire des merveilles, et le seul plan rĂ©ellement magnifique du film se trouve au tout dĂ©but, une fois le gĂ©nĂ©rique terminĂ©, oĂč la camĂ©ra part d’une vue d’un magnifique lac pour s’arrĂȘter vers un grand bĂątiment, celui des notables fascistes. Le seul. Au mieux, Salo ou les 120 journĂ©es de Sodome peut se voir interprĂ©ter telle une parodie qui ne va pas jusqu’au bout de son cynisme, au pire, il ne s’agit plus que d’une Ɠuvre dĂ©plaisante, datĂ©e et maladroite dans ses provocations davantage que choquante et nausĂ©euse, mĂȘme insoutenable comme beaucoup l’ont dit, dont l’absence de crĂ©dibilitĂ© dans le jeu des acteurs et l’extrĂȘme lenteur du rythme se rĂ©vĂšlent fort rĂ©barbatifs. Pas mĂȘme instructif, il laisse déçu et avec le sentiment amer de s’ĂȘtre fait arnaquer dans les rĂšgles de lart. Reste une belle musique de gĂ©nĂ©rique ainsi que les audaces respectables du film si l’on le restitue dans le contexte de son Ă©poque, mais cela ne reprĂ©sente pas rĂ©sumĂ© - Source images

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